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Libération – Le Conseil Fédéral de médecine du Brésil et les 27 Conseils régionaux qui représentent les 400 000 médecins du pays ont prôné jeudi la dépénalisation de l’avortement jusqu’à trois mois de grossesse. Aujourd’hui, l’avortement au Brésil n’est autorisé qu’en cas de viol ou de danger pour la vie de la mère.<br />
Les conseils de médecine de tout le pays ont défendu <em>«l’autonomie de la femme»</em> pour interrompre sa grossesse, a indiqué le président du Conseil Fédéral Roberto Luiz d’Avila dans un communiqué officiel. Les médecins ont proposé d’augmenter les cas où l’avortement serait légal comme l’anencéphalie (absence de cerveau) ou anomalies incurables du fœtus et <em>«si la femme enceinte le souhaite, jusqu’à la douzième semaine de grossesse»</em>. <a href="http://www.liberation.fr/monde/2013/03/21/les-medecins-bresiliens-souhaitent-depenaliser-l-avortement_890287" target="_blank">Lire la suite</a></p>