Sarkozy remet en question l’accès anonyme à la pilule pour les mineures

<p>
Le Monde – C&#39;est une petite phrase, une de plus, gliss&eacute;e par Nicolas Sarkozy en r&eacute;ponse &agrave; une auditrice de France Inter, mercredi 25 avril. &quot;Il y a un d&eacute;bat : est-ce qu&#39;on peut donner la pilule &agrave; une adolescente, sans demander l&#39;avis des parents?&quot;, s&#39;est interrog&eacute; le pr&eacute;sident-candidat.</p>
<p>
La phrase a choqu&eacute; les f&eacute;ministes et la gauche, la responsable du p&ocirc;le social dans la campagne de Fran&ccedil;ois Hollande, Marisol Touraine, d&eacute;non&ccedil;ant par exemple un retour &quot;10 ans en arri&egrave;re&quot;. De fait, la prise de position de M. Sarkozy remet en question une l&eacute;gislation en vigueur depuis 2001 : &quot;Le consentement des titulaires de l&#39;autorit&eacute; parentale ou, le cas &eacute;ch&eacute;ant, du repr&eacute;sentant l&eacute;gal n&#39;est pas requis pour la prescription, la d&eacute;livrance ou l&#39;administration de contraceptifs aux personnes mineures.&quot;&nbsp; <a href="http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2012/04/26/contraception-sarkozy-remet-en-cause-l-anonymat-pour-les-mineures_1692030_1471069.html" target="_blank">Lire la suite</a></p>

Partager cette page

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *