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Maroc<br />
L’avortement est la priorité des priorités. L’avortement interpelle au premier plan les professionnels de la santé et les acteurs sociaux. Ces personnes sont les seules à connaître véritablement les complications que peuvent engendré les avortements clandestins. La société marocaine compte beaucoup de personnes analphabètes qui ne comprendront l’avortement qu’au premier degré. Ce n’est pas la première fois que Bassima Hakkaoui propose un référundum sur le sujet. Légaliser l’avortement dans des conditions bien précises (voir ci-dessous) permettra de sauver de nombreuses vies mais également d’éviter de nombreuses situations notamment la prostitution, le suicide, des femmes tuées par leurs familles ou anéanties suite à l’annonce d’un viol. <a href="http://www.aujourdhui.ma/couverture-details86956.html" target="_blank">Lien</a></p>