Le Vatican veut dissocier la santé reproductive et sexuelle de l’avortement

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Le Vatican r&eacute;attaque sur une r&eacute;solution qui a &eacute;t&eacute; amend&eacute;e par le parlement europ&eacute;en le 1er d&eacute;cembre 2011 concernant la lutte contre le sida. Le paragraphe&nbsp; 22 de cette r&eacute;solution &quot;demande &agrave; la Commission et au Conseil de garantir l&#39;acc&egrave;s &agrave; des services, des informations et du mat&eacute;riel de sant&eacute; sexuelle et g&eacute;n&eacute;sique complets et de qualit&eacute;; cela devrait consister, entre autres, en des conseils, des d&eacute;pistages et des traitements confidentiels et volontaires pour le VIH et toutes autres infections sexuellement transmissibles; <strong>la pr&eacute;vention des grossesses non d&eacute;sir&eacute;es; un acc&egrave;s &eacute;quitable et abordable aux contraceptifs, y compris &agrave; la contraception d&#39;urgence; un avortement s&ucirc;r et l&eacute;gal, y compris des soins apr&egrave;s avortement</strong>; des soins et des traitements pour emp&ecirc;cher la transmission verticale du VIH, y compris aux partenaires et aux enfants&quot;. Le Vatican r&eacute;affirme sa conception de la sant&eacute; sexuelle qui ne passe pas par le droit &agrave; l&#39;avortement et n&#39;implique pas la contraception.</p>

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