<p>
Maroc – Malgré les avancées du planning familial au Maroc, un nombre considérable de femmes, souvent mineures, de petites conditions et peu éduquées, continuent de se faire avorter dans la clandestinité dans ce pays où cette pratique est illégale. Dans l'attente d'une loi pour autoriser, en l'encadrant, l'avortement, un congrès national doit se tenir mardi à Rabat, sous l'égide de l'Association marocaine de la lutte contre l'avortement clandestin (AMLAC), présidée par le professeur Chafik Chraibi, en présence du ministre de la Santé El Hossein el Ouardi et de parlementaires. Ce genre de discours relève d'une mentalité figée. Des questions comme le viol, l'avortement, le travail des mineures sont de la responsabilité de l'Etat, plaide Mme Fauzia Assouli, présidente de la Fédération de la Ligue démocratique des droits des femmes. <a href="http://www.romandie.com/news/n/_L_avortement_clandestin_une_plaie_dans_le_corps_social_du_Maroc57090620120821.asp" target="_blank">Lire la suite</a></p>