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Fait-religieux.com – En décembre, une jeune femme de 25 ans s'était rendue aux urgences à Cologne, après avoir été droguée et violée. La médecin urgentiste qui l'a reçue a dénoncé la semaine dernière les difficultés de son équipe à la faire admettre dans un service de gynécologie pour effectuer des prélèvements médico-légaux, dans le journal local <i>Kölner Stadt-Anzeiger</i>. Sollicitées par les urgences, deux cliniques catholiques ont refusé la victime. Parce qu'une consultation post-viol inclut un entretien sur les risques de grossesse et la prescription d'une contraception d'urgence*, les médecins auraient reçu la consigne de ne plus en pratiquer du tout. <a href="http://fait-religieux.com/monde/europe/2013/01/21/pilule_du_lendemain_deux_hopitaux_catholiques_de_cologne_refusent_une_victime_de_viol" target="_blank">Lire la suite</a></p>