Avortement : Ne plus accepter une loi si cruelle et un tel outrage à la dignité humaine des femmes

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Maurice – Comme&nbsp;annonc&eacute; au public la section mauricienne d&rsquo;Amnesty International a entam&eacute; un processus de restructuration et de remise sur pied. Cependant, compte tenu de l&rsquo;importance du projet de loi sur la d&eacute;p&eacute;nalisation de l&rsquo;avortement dans certains cas sp&eacute;cifiques, la section mauricienne se doit, en accord avec le Secr&eacute;tariat international, de contribuer &agrave; ce d&eacute;bat qui concerne au plus haut point la d&eacute;fense des droits humains.<br />
Il est, en effet, fondamental de comprendre la situation strictement inacceptable dans laquelle se trouve la R&eacute;publique de Maurice en raison de sa l&eacute;gislation sur l&rsquo;avortement.<br />
En 2005, le Comit&eacute; des Droits de l&rsquo;homme des Nations unies qui veille &agrave; l&rsquo;application du Pacte International relatif aux Droits civils et Politiques par les &Eacute;tats parties disait ceci &agrave; propos de notre pays :- &laquo;The Committee notes with concern that section 235 of the Penal Code penalizes abortion even when the mother&rsquo;s life is in danger, and thus may encourage women to resort to unreliable and illegal abortion, with inherent risks for their life and health (Covenant, art. 6). <a href="http://www.lexpress.mu/story/38491-avortement-ne-plus-accepter-une-loi-si-cruelle-et-un-tel-outrage-a-la-dignite-humaine-des-femmes.html" target="_blank">Lire la suite</a></p>

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