
10/06/2022
« Quand Megumi Ota a eu besoin de la pilule du lendemain au Japon, elle n’a pas pu obtenir une ordonnance à temps en vertu d’une politique que des militantes qualifient de tentative de « contrôler » les droits reproductifs des femmes. « Je voulais la prendre, mais je n’ai pas pu le faire pendant le week-end », la plupart des cabinets médicaux étant fermés, raconte-t-elle à l’AFP. Incapable d’obtenir un rendez-vous dans les 72h suivant le rapport sexuel, lorsque cette contraception d’urgence est la plus efficace, « j’ai dû m’en remettre au hasard et je suis tombée enceinte ». »