
06/08/2020
« Au Chili, l’interruption de grossesse n’est autorisée que dans trois cas : viol, danger pour la vie de la mère ou quand le fœtus n’est pas viable. Hors de ces cas de figure, les femmes qui y ont recours risquent jusqu’à cinq ans de prison. On compte entre 60 000 et 200 000 avortements clandestins par an au Chili, selon les associations. Mais avec la pandémie de Covid-19 et la fermeture des frontières chiliennes depuis mars, ces avortements sont encore plus dangereux qu’avant. »
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