« Il y a du positif et plus ou moins du négatif”. Le président de l’Association marocaine de lutte contre l’avortement clandestin (AMLAC), Chafik Chraïbi, commente ainsi au HuffPost Maroc la réponse à sa lettre envoyée, il y a trois mois, au chef du gouvernement, Saad Eddine El Othmani, pour relancer la question de la lutte contre l’avortement clandestin.
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