Dans ce clip, une fille rêve d’être enceinte et transperce des préservatifs à l’insu de son partenaire…
https://www.youtube.com/watch?v=1-DLPoy8lm4
Quand on sait que la « coercition reproductive » est une pratique assez courante… mais très majoritairement imputable aux garçons qui veulent s’attacher une fille (qui veut les quitter, qui ne veut pas d’enfant), c’est bien la preuve que le masculinisme est à l’oeuvre et se répand insidieusement.
Pour rappel, la coercition reproductive est un phénomène social encore peu connu et analysé chez nous, a pourtant fait l’objet de plusieurs compte rendu suite à une étude américaine de l’été 2013. Il ne se limiterait plus maintenant uniquement dans les cas de phénomène en recrudescence chez les femmes non mariées subissant des violences physiques ou morales.
https://www.facebook.com/terrafemina/posts/10151665502649617
D’autre part, les études ont établi une corrélation patente entre ces pratiques et l’exercice de violences envers les femmes qui ne font que croître une fois la grossesse en cours.
Selon le Guttmacher institute, « approximately one in five young women said they experienced pregnancy coercion and one in seven said they experienced active interference with contraception (also called birth control sabotage).
Voir les chiffres ici http://www.futureswithoutviolence.org/userfiles/file/Children_and_Families/Reproductive.pdf
mais également les effets bénéfiques probants de la prévention via information et accueil dans les centres de planning etc.